En quittant un hôtel à Saïgon dimanche dernier, j'ai vu deux objets qui semblaient contredire l’évolution habituelle de la matière..

Les poèmes que j'aime composer incarnent la concision et la densité du lien. Des formes brèves me permettent une capture rapide à la manière du haïku, mais les relations de musique et de sens exigent un choix scrupuleux des mots. Le sonnet en six pieds me convient souvent, avec de multiples motifs de rimes.
Concernant le lexique, je préfère l'universel. Les noms propres sont généralement exclus car associés à des époques et cultures. Les mots sophistiqués ou rares sont évités. Je cherche à ne garder qu'un langage concis mais accessible.